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Il permet à tout occupant d’une résidence principale, propriétaire ou locataire, de bénéficier d’une réduction de 30% au titre des dépenses éligibles liées à l’amélioration de la qualité environnementale ou énergétique de son habitation. Ce dispositif remplace le Crédit d’Impôt Développement Durable (CIDD) et chacun pourra bénéficier de ses avantages jusqu’au 31 décembre 2017. Ce crédit d’impôt est cumulable avec d’autres aides, notamment : l’Eco Prêt à taux 0.
Instauré par la Loi de finances en 2009, ce prêt s’inscrit dans le même objectif que le crédit d’impôt pour la transition énergétique. Sans condition de ressources, il est cependant plafonné à un montant de 30 000 € pour des travaux de rénovations énergétiques ou le remplacement de certains équipements de chauffage. Ce prêt peut tout à fait se cumuler avec un prêt bancaire permettant l’acquisition d’un logement à rénover, à condition de fournir les devis détaillés en amont.
L’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat) propose des subventions et des aides à la rénovation, sous conditions de ressources aux occupants des logements de plus de 15 ans, pour un montant pouvant aller jusqu’à 50 000 € en cas de travaux de réhabilitation d’une habitation très dégradée.L’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat) propose des subventions et des aides à la rénovation, sous conditions de ressources aux occupants des logements de plus de 15 ans, pour un montant pouvant aller jusqu’à 50 000 € en cas de travaux de réhabilitation d’une habitation très dégradée.
Encadrées par l’état, il s’agit de mesures pouvant se présenter sous forme de primes ou de prêts bonifiés par exemple dans le cadre d’une installation d’un mode de chauffage « écologique ». . Il est important de savoir que les collectivités locales peuvent exonérer sur tout ou partie et pour une durée de 5 ans maximum, la taxe foncière des propriétaires occupants ayant réalisé des travaux d’économie d’énergie dans leur habitat.
Le changement d’appareil énergétique par un appareil moderne à économie d’énergie (dans les normes fixées par la communauté européenne) peut obtenir une « prime énergie ». Elle ne sera pas cumulable avec un prêt à taux réduit ou bonifié des fabricants. Elle est délivrée par les vendeur d’énergie après l’incitation de l’état suite au dispositif des certificats d’économies d’énergie.
Il existe toujours. Désormais appelé Prêt d’Action Logement, il propose aux salariés d’entreprises d’au moins 10 employés de bénéficier d’un prêt à faibles intérêts plafonné à 10 000 €. Quels équipements pour le chauffage ? Outre les travaux d’isolation à entreprendre en premier lieu, différents modes de chauffage « nouvelle génération » existent. Mais pour pouvoir bénéficier des différentes aides à la rénovation proposées à l’investissement de ces différents équipements, il est important que ces derniers répondent à plusieurs critères.
Au fioul ou au gaz, les chaudières à condensation peuvent consommer jusqu’à 20% de moins d’énergie que les modèles classiques. Concernant les chaudières à bois, il faudra choisir un modèle « Classe 5 » ou label « Flamme Verte ». . Le poêle à bois : Il s’agit de l’équipement le plus prisé car très rentable. Comme pour les chaudières à bois, le rendement énergétique, pour être éligible aux aides, doit être d’au moins 70% et la concentration en monoxyde de carbone très faible (inférieure à 0,3%). Il faudra également s’assurer que la chaudière ou le poêle ont été testés selon les normes en vigueur.
A terme, la pompe à chaleur peut permettre de diviser par 3 sa consommation d’énergie, par rapport à un mode de chauffage plus ancien et plus classique.
Même si l’investissement au départ est important, le chauffage solaire s’avère toutefois rentable et très écologique. Les aides à la rénovation sont nombreuses pour financer un nouveau mode de chauffage économique et écologique. Il est donc important de bien se renseigner, des outils de simulation sont même disponibles sur Internet pour vérifier l’éligibilité son projet.
